
L’axe « inflammation » de l’UR3072 travaille depuis plusieurs années sur la recherche translationnelle appliquée aux myopathies inflammatoires (MI) et à la sarcopénie.
Pour en savoir plus sur l'axe 3 :
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L’axe « inflammation » de l’UR3072 travaille depuis plusieurs années sur la recherche translationnelle appliquée aux myopathies inflammatoires (MI) et à la sarcopénie.
Pour en savoir plus sur l'axe 3 :
Les MI sont des maladies auto-immunes systémiques rares et hétérogènes, caractérisées par une faiblesse et une inflammation du muscle squelettique pour lesquelles plusieurs besoins médicaux non couverts demeurent, parmi lesquels :
Notre programme de recherche, fondé sur une approche combinée épidémiologique, clinique et translationnelle vise à améliorer la compréhension de ces maladies pour en optimiser la prise en charge.
→ Coupe histologique transversale du muscle gastrocnémien de souris contrôle (gauche) et d’un modèle de myosite auto-immune (droite), montrant l’infiltration inflammatoire et la nécrose musculaire après immunisation par peptide. Modèle développé par l’équipe de recherche de l’axe Inflammation. Images issues de Giannini et al. (2025) - RMD Open
La sarcopénie est définie selon les critères de l’EWGSOP2 (European Working Group on Sarcopenia in Older People 2) par une diminution conjointe de la force de préhension et de la masse musculaire appendiculaire. Elle accompagne de nombreux états pathologiques chroniques ainsi que le vieillissement. Cette affection fréquente touche environ 5 % de la population générale et jusqu’à 10 % des patients hospitalisés. Elle est associée à une augmentation de la morbi-mortalité (altération de la qualité de vie, risque accru d’hospitalisation et de décès), indépendamment des autres indicateurs de santé. Dans ce contexte, nos travaux portent sur l’étude de la prévalence, des facteurs associés et de la physiopathologie de la sarcopénie dans les pathologies inflammatoires chroniques.